
Création des plus poétiques, « El kamar bi zaher » fusionne la gestuelle moyenne orientale à la danse contemporaine. À la fois intimiste et universel, le solo de Chanel Cheiban se déploie avec fougue et élégance dans un univers à l’encontre de nouveaux territoires féminins sacrés. Métaphore de son espace intérieur, « El kamar bi zaher » signifie en arabe « La lune qui fleurit », un rite de passage, une métamorphose de la graine à la floraison.