
Erik Polidoro présente son premier album complet, « L’air entre nos corps ». Empreint de douceur et de vérité, il y mêle les cordes et les textures instrumentales avec une aisance remarquable, s’inscrivant sans contredit dans le paysage sonore folk québécois. Les textes poignants d’Erik et les arrangements s’entrelacent en de douces ballades et nous invitent à profiter d’un moment de contemplation.
Le 12 juin prochain, il présentera en primeur l’entièreté de son album sur la scène de la Sala-Rossa, à Montréal, pour son spectacle de lancement d’album.
Depuis janvier, Erik Polidoro installe tranquillement son répertoire jusqu’à l’aboutissement de cette sortie d’album. Il débute son long-jeu avec « Ouverture », suivie de « Nostalgie de toi », un hymne folk authentique rempli de force. De sa voix enveloppante et feutrée, il raconte un récit d’amour et de manque à travers des phrasés poétiques.
Réfléchi et soucieux du détail, Erik Polidoro explore les thématiques de l’introspection et de la remise en question à travers ses pièces. Alors que « San Pedro » inspire le voyage et la quête de soi, « Nos horizons » explore les tourments d’une relation et questionne l’impact de nos actions sur l’autre. Sa chanson suivante, « Le deuil », vient appuyer cette notion de manque amoureux à travers des arrangements puissants et mélancoliques.
Précédée d’une pièce entièrement instrumentale, « Les feuilles tombent tranquillement sur Rosemont », la chanson-titre de cet album intitulé « L’air entre nos corps » capte ce moment brûlant où les mots deviennent inutiles. Une chanson sensuelle et intense sur l’envie de prolonger l’instant — et de ne jamais le laisser filer.
Avec une section de cordes en ouverture de la pièce, « Me laisse pas revenir » console et apaise les maux à travers la voix feutrée d’Erik, suivie de « Carillons », un morceau instrumental où les textures musicales évoquent des souvenirs lointains.
Récemment, Erik Polidoro dévoilait « Le bruit de rien », une ballade envoûtante qui célèbre la force du silence et la beauté des instants partagés. Sur une musique douce et aérienne, il invite à fuir le vacarme du monde pour retrouver l’essentiel : un moment suspendu entre regards, vent et rivière.
Il conclut son opus en douceur avec « S’il ne reste qu’une chose », une ode à l’amour et à ces moments de délicatesse que l’on chérit précieusement. Il y mêle une fois de plus les violons et la guitare de manière harmonieuse, laissant la nostalgie et le calme s’éprendre des dernières notes.
« L’air entre nos corps »
- « Ouverture »
- « Nostalgie de toi »
- « San Pedro »
- « Nos horizons »
- « Le deuil »
- « Les feuilles tombent tranquillement sur Rosemont »
- « Me laisse pas revenir »
- « L’air entre nos corps »
- « Carillons »
- « Le bruit de rien »
- « S’il ne reste qu’une chose »
Réalisé par Alex Métivier, « L’air entre nos corps » est un album à la fois intime et universel, qui explore des thématiques reliant l’amour, les relations, le voyage et la réflexion. Les arrangements y racontent le même récit que les paroles, créant une œuvre complète et immersive. Le 12 juin prochain sur la scène du Verre-Bouteille à Montréal, Erik Polidoro sera entouré de 7 musiciens, soit Robbie Kuster à la batterie, d’Alex Métivier aux claviers, de Guillaume Chartrain à la basse ainsi que du quatuor à cordes Mommies on the run dirigé par Mélanie Bélair. Ensemble, ils offriront un concert intime à mi-chemin entre la chanson et l’instrumental.