Katia Makdissi-Warren.
Photo: Damian Siqueiros
« Le chant des baleines » réunira des artistes inuits, maoris et autochtones à Montréal
Le fait d’être née d’une mère libanaise et d’un père québécois a beaucoup influencé le parcours de la compositrice Katia Makdissi-Warren. Elle a été élevée dans les deux cultures, entourée de sa grand-mère, de ses tantes et de ses oncles à la manière libanaise et, après avoir étudié au Conservatoire de Musique de Québec, elle a tout de suite voulu provoquer la rencontre des musiques du Moyen-Orient et de l’Occident.























