La Fuite.
Photo: Adrian Gelineau
La Fuite sort son premier album teinté de poésie, de mélancolie et de lumière
Après un premier EP remarqué pour sa sensibilité et sa profondeur en début d’année, nourrie par les horizons du Bas-Saint-Laurent, La Fuite revient avec son premier album complet, « La Fuite, La Chute », qui paraîtra ce jeudi 30 octobre.
Dans cette épopée musicale, la formation rimouskoise poursuit sa traversée des paysages intérieurs. Inspiré par les univers sensibles de Patrick Watson, Karkwa et MISC, et porté par une voix dont le timbre évoque celui de Serge Fiori, cet album francophone déploie un univers où l’indie rock alternatif se teinte de poésie, de mélancolie et de lumière.
Nourrie par les horizons du Bas-Saint-Laurent, la musique de La Fuite évoque le mouvement perpétuel de la mer et du vent : tantôt apaisée, tantôt déchaînée. Les textes, habités par la tension entre le corps et le monde, tissent une suite de tableaux où l’intime se dévoile dans toute sa vulnérabilité. Chaque chanson explore un fragment du vertige moderne, une manière de dire qu’il faut parfois tomber pour se permettre d’exister.
Porté par des arrangements enveloppants, une instrumentation nuancée et une écriture d’une grande sincérité, « La Fuite, La Chute » se propose comme une un voyage : une plongée sensorielle où le temps se suspend et où l’intime devient paysage.
« La Fuite, La Chute », c’est le son d’un monde intérieur qui accepte enfin d’observer ses fissures et de laisser poindre la lumière.
« "La Fuite, La Chute" est né du besoin d’accueillir la faille — de reconnaître que c’est souvent dans la cassure que la lumière émerge. »























