Pascal Plante.
Photo: Frédéric Bouchard
Pascal Plante donne dans le thriller psychologique pour son troisième long métrage
Pascal Plante adore les personnages naviguant en zones grises et les débats polarisants. L’art peut s’y insérer. C’est donc tout naturellement que lorsque la productrice Dominique Dussault, partenaire créative du réalisateur, lui a suggéré l’idée d’aborder le procès d’un tueur en série sous l’angle des groupies, ces jeunes femmes venues assister chaque matin au procès de l’accusé, le cinéaste a plongé dans cet univers en y intégrant le monde de la cybercriminalité. « Les chambres rouges », son troisième long métrage, un thriller psychologique, est né de cette envie d’explorer le parcours de Kelly-Anne, l’une de ces énigmatiques spectatrices qui se réfugie dans la sphère sombre du numérique.
