
La troisième édition du Camp rock se déroulera du 1er au 5 juillet 2024 à l’École de musique de l’Université de Sherbrooke. Cette initiative, portée par Le Petit Théâtre de Sherbrooke, offre l’opportunité à des ados de 13 à 17 ans de participer à une semaine pendant laquelle iels partageront l’apprentissage d’un instrument : chant, basse, guitare électrique, clavier et batterie. Les participant·es formeront des bands et composeront de toutes pièces une chanson.
Le Camp se conclut par une performance sur scène, devant public, à La Petite Boîte Noire. Un spectacle de clôture que les jeunes auront créé de toutes pièces au cours de la semaine : un événement certainement riche en émotions !
Les deux premières éditions du Camp rock ont été un véritable succès. « J’ai été grandement touchée par la force et la tendresse qui habitent ces ados. À la toute fin du Camp, le vendredi, la salle de La Petite Boîte Noire était pleine à craquer ! », mentionne avec fierté Érika Tremblay-Roy, directrice artistique du Petit Théâtre. Les témoignages des participant·es ont été des plus positifs.
En grande nouveauté cette année, le Camp rock 2024 se déroule à l’École de musique de l’Université de Sherbrooke. « C’est un projet vraiment pertinent pour lequel on veut ouvrir nos portes », souligne Pier-Luc Papineau, coordonnateur de l’École de musique de l’Université de Sherbrooke. L’École de musique a comme vision d’encourager l’innovation, l’excellence, la créativité et le plaisir dans l’apprentissage afin de permettre la réalisation de la vision artistique à travers des parcours divers.
« De notre côté, la collaboration s’est faite naturellement, c’est une grande chance de pouvoir habiter ces locaux avec les participant·es du Camp. », souligne Frédérique Giguère, responsable de la médiation et des liens avec la communauté au Petit Théâtre et initiatrice du projet du Camp rock.
« Le monde change, et c’est grâce à ces ados. Les jeunes que nous avons côtoyé·es pendant le Camp possèdent une force à assumer leur identité qui est remarquable. Iels ont des choses à dire, et on doit les écouter », ajoute Érika Tremblay-Roy.