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    Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.

    Samuel Cohn Cousineau a fait équipe avec Zacharias Kunuk pour donner vie au « Mauvais mari »

    Samuel Cohn Cousineau a fait équipe avec Zacharias Kunuk pour donner vie au « Mauvais mari »

    Élevé entre Montréal et Igloolik par des parents engagés dans le milieu du cinéma nunavutois, Samuel Cohn Cousineau a naturellement emprunté la même voie une fois adulte, intégrant en 2016 Isuma, le collectif de production inuit cofondé par son père, Norman Cohn. Après une année passée au département marketing, il débute en création en aidant Lucy Tulugarjuk à écrire son premier long métrage, « Tia et Piujuq », puis a assisté Zacharias Kunuk à la production de son film « Une journée dans la vie de Noah Piugattuk ». Une première collaboration qui a convaincu le cinéaste primé de refaire appel aux services du jeune producteur pour concrétiser un projet de longue date, « Uiksaringitara (Le mauvais mari) », un film fantastique se déroulant 2000 ans avant notre ère. Qui fait Quoi a rencontré Samuel Cohn Cousineau pour discuter de ce long métrage, qu’il a aussi coécrit.

    Dans son premier long métrage documentaire, Laurence Olivier s’intéressera aux ruptures familiales

    Dans son premier long métrage documentaire, Laurence Olivier s’intéressera aux ruptures familiales

    Laurence Olivier a d’abord fait sa marque dans le milieu culturel en tant qu’auteure. Son roman « Répertoire des villes disparues » (2015) a d’ailleurs été porté à l’écran par Denis Côté en 2019. Elle n’a pas étudié en cinéma, mais, par la force des choses, des collaborations et des rencontres, elle a commencé à réaliser des courts métrages. Son cinquième film, « Film de roche », a d’ailleurs été présenté à l’édition 2025 des RIDM, où la jeune femme a aussi participé au Doc Lab du Forum pour son premier long métrage « Hanté·es : un film de fantômes sur les ruptures familiales ».

    Anaïs Barbeau-Lavalette veut briser le cadre des « biopics » en réalisant « Pauline Julien : femme pays »

    Anaïs Barbeau-Lavalette veut briser le cadre des « biopics » en réalisant « Pauline Julien : femme pays »

    Le 28 novembre sur le coup de minuit, Anaïs Barbeau-Lavalette complétait le tournage de son cinquième long métrage, « Pauline Julien : femme pays », dans les anciens locaux montréalais de l’Office national du film. Une étape fondamentale pour ce projet qu’elle porte depuis plusieurs années : une fiction romancée qui retracera librement la vie de la chanteuse et militante éponyme, autant dans ses performances et ses prises de position que dans ses moments d’intimité absolue. Qui fait Quoi s’est entretenu avec la cinéaste pour en savoir davantage sur ses intentions créatives et sur la réalisation de ce film sur le terrain.

    Corey Payette met de l’avant la communauté diversifiée d’East Vancouver dans « Starwalker »

    Corey Payette met de l’avant la communauté diversifiée d’East Vancouver dans « Starwalker »

    Anishinaabe, membre de la Première Nation de Mattagami dans le nord de l’Ontario, mais aussi Franco-ontarien et Irlandais d’origine, Corey Payette a suivi une formation en composition musicale, ce qui l’a amené à écrire des comédies musicales. À mesure qu’il les développait, il est devenu scénariste et metteur en scène au théâtre. De là, ses comédies musicales ont évolué et il les a adaptées au cinéma. C’est notamment le cas de « Skywalker », diffusé à image+nation cette année, qui fut d’abord présenté sur scène avant d’être tourné.

    Radio-Canada accueille « Malgré moi », la première fiction de la manitobaine Wookey Films

    Radio-Canada accueille « Malgré moi », la première fiction de la manitobaine Wookey Films

    Après une dizaine d’années d’activité dans le secteur du documentaire indépendant, Janelle et Jérémie Wookey, le duo fraternel à l’origine de Wookey Films, a souhaité se lancer dans la production d’une première fiction, intitulée « Malgré moi », qui serait tournée dans leur communauté de Saint-Boniface à Winnipeg. Une volonté approuvée par la branche québécoise de Radio-Canada, qui a accepté de donner une tribune à ce projet sur sa plateforme ICI Tou.TV Extra. Qui fait Quoi a cherché à en savoir davantage sur cette minisérie auprès de sa productrice ainsi que d’André Béraud, directeur du département fiction du télédiffuseur, quelques jours avant sa diffusion en ligne.

    Frédéric Moffet filme comme on flirte

    Frédéric Moffet filme comme on flirte

    Le cinéaste québécois Frédéric Moffet vit depuis 30 ans à Chicago, où il est professeur à la School of the Art Institute of Chicago. Au cours de sa carrière, il a réalisé des films expérimentaux et plusieurs ont été présentés à image+nation, dont « Jean Genet à Chicago » et « The Magic Edge ». Son plus récent film, le court métrage « The Job : The Erotic Photographs of John Philipps », qui a également été présenté au festival de cinéma queer de Montréal, dresse le portrait du photographe canadien John Philipps.