Une nouvelle mission à haut risque attend les deux agents maladroits dans la nouvelle saison de « Double jeu », attendue le 14 janvier 2026 sur Crave. [suite]
Dans son plus récent film, le cinéaste anthropologue Serge-Olivier Rondeau s’intéresse au goéland à bec cerclé et à la manière dont cet oiseau mal-aimé s’épanouit dans les détritus humains. En se réappropriant les codes du documentaire animalier, il met l’oiseau au centre du récit, là où se trouvent habituellement les humains. [suite]
Pro Musica vient de dévoiler la programmation de la saison 2026, sa 77e, sous le thème Les Grands romantiques, avec dix concerts déployés dans les séries habituelles de l’organisme à savoir les Cartes blanches qui proposent des rendez-vous dominicaux avec des instrumentistes de renommée internationale précédées de rencontres pré-concert toujours très populaires. [suite]
L’année 2025 marque un tournant pour Francis Degrandpré, qui confirme son ascension fulgurante sur la scène country québécois. [suite]
Dans six mois, la Cité internationale du cinéma d’animation ouvrira ses portes à Annecy et offrira au monde un lieu inédit dédié à la création animée. [suite]
Ayant toujours nourri le désir de concevoir ses propres jeux vidéo, Thierry Boulanger a mis de côté sa carrière de programmeur chez Frima Studio pour se lancer en affaires, fondant avec son partenaire, Martin Brouard, le développeur indie Sabotage Studio. Aujourd’hui couronnée de succès grâce à ses titres « The Messenger » et « Sea of Stars », l’entreprise de Québec a connu des débuts bien modestes, devant notamment s’appuyer sur des prêts bancaires et des campagnes de sociofinancement pour concrétiser ses ambitions. Un parcours sur lequel le directeur créatif s’est à nouveau penché au dernier Sommet international du jeu de Montréal (MIGS), lors d’une présentation à laquelle Le Lien MULTIMÉDIA a assisté. [suite]
Dans son plus récent film, le cinéaste anthropologue Serge-Olivier Rondeau s’intéresse au goéland à bec cerclé et à la manière dont cet oiseau mal-aimé s’épanouit dans les détritus humains. En se réappropriant les codes du documentaire animalier, il met l’oiseau au centre du récit, là où se trouvent habituellement les humains. [suite]
