Phénomène de la streamosphère, l’artiste indépendant Aswell comptabilise déjà plus de 18 millions d’écoutes sur les plateformes d’écoute en ligne, dont le titre Leaving qui cumule à lui seul près de 7,5 millions d’écoutes.
Du haut de sa jeune vingtaine, il est prêt à défendre son nouveau projet partout au Québec. Un nouveau titre paraîtra dans quelques semaines pour ensuite laisser place à l’album en octobre.
Présentation de ses deux plus récents clips
En radio depuis le début de l’été, « Make it Alright » est la seule chanson sur l’album où Aswell n’a pas touché à la production musicale. « Un jour, je suis allé au studio de Cook Da Beatz à Joliette et il a concocté ce beat-là, décrit Aswell. J’ai écrit la topline du refrain sur place et j’ai écrit les vers chez moi par la suite. La chanson aborde une relation amoureuse compliquée où je confie à ladite personne que je peux tout arranger si elle revient sachant très bien que la relation ne pourrait jamais marcher. Dans le vidéoclip, la tornade représente la fin de la relation et les tourments qui s’y rattachent. C’est pourquoi je cours pour y échapper en chantant les paroles "I’m gonna make it alright". »
Le beat de « Sandy » a été fait dans l’ancien studio de l’artiste dans Hochelaga. Après avoir déposé les trois premiers instruments, Aswell a tout de suite écrit le début de la chanson. « Sandy » représente l’entrée d’Aswell dans le rap québécois. Il y aborde son indépendance musicale, la place qu’il souhaite prendre dans l’industrie, le chemin qu’il a parcouru sans l’aide de personne et ses inspirations de jeunesses. Le vidéoclip reflète beaucoup la chanson. « Nous avons filmé dans tous les endroits iconiques de Montréal. C’est une façon de dire à tout le monde : ok, je suis là pour vrai », assure Aswell.
Réalisation : Gabriel Poirier