Les exclusivités
Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.
Diplômé de l’Institut Trebas en production télévisée et cinématographique, Isnard Delice cherche à s’intégrer au milieu du cinéma en tant que réalisateur, dans l’optique de créer un cinéma percutant et sincère. Confiné comme tant d’autres par la pandémie de COVID-19, il s’est lancé à corps perdu dans la scénarisation d’un premier court métrage, « Oscar », qu’il a pu peaufiner dans le cadre du programme de mentorat de Black on Black Films en 2022 et présenter par la suite au festival Court d’un soir. Décidé à ne pas se reposer sur ses lauriers, le cinéaste en devenir est retourné à l’écriture pour scénariser un autre projet, un long métrage intitulé « P.O.M.E. », qu’il a pu récemment présenter au Pitch des scénaristes – Cinéma de l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision. Qui fait Quoi a eu l’occasion d’en discuter avec lui.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition d’avril 2025 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement modernisée et améliorée et optimisée. Disponible en ligne en format numérique PDF (75 pages), cette 450e édition de la revue Qui fait Quoi contient des reportages sur les conférences Prime Time de la Canadian Media Producers Association (CMPA), et « Quand la musique rencontre l’image » de l’Association des professionnels de l’édition musicale (APEM) et l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision, les séries télé « Mr. Big » (André Gulluni, Marie-Hélène Lafortune, Alexis Durand-Brault et Sophie Lorrain, ALSO, illico+), en couverture, « Chef d’orchestre » (Stéphane Lafleur, SPORT, Tou.tv), le documentaire « Libres de choisir : aux premières lignes de l’avortement » (Élise Ekker-Lambert et Julie Boisvet, Picbois), les films « Uasheshkun » (Normand Junior Thirnish-Pilot, Coop Vidéo de Montréal) et « Machine de rêve » (Bruno Boulianne, Les productions de l’épaule). Tout ça et bien plus encore…
Depuis ses études secondaires, Thomas Hinse s’adonne de manière autodidacte à plusieurs pratiques artistiques en parallèle de son parcours dans le milieu de l’enseignement, dont la réalisation cinématographique. Après avoir mis en scène son premier court métrage en 2014, « Les mauvais accords », le jeune cinéaste a poursuivi sa lancée en signant un long métrage, « Le pacte des insouciants », ainsi qu’un autre court, « Être », pour lequel il a fondé sa propre maison de production : les Productions du Cerf noir. Aujourd’hui enseignant au primaire, Thomas Hinse s’est nourri de son expérience quotidienne pour écrire son dernier film, « Les enfants ont peur », qui sera projeté le 5 avril au 26e Festival du film de l’Outaouais. Un projet qu’il considère comme son plus abouti à ce jour, a-t-il confié à Qui fait Quoi.
Finissant en option théâtre du Cégep Lionel-Groulx en 1998, Simon Boudreault venait, au départ, de l’improvisation, son premier coup de coeur pour le théâtre qui permet d’être à la fois auteur, metteur en scène et acteur. Il explique à Qui fait Quoi avoir été attiré par ces trois facettes du métier. Et il aime raconter des histoires. Sa plus récente pièce, « Dis-moi qui tu es, je te dirai ce que tu dis », prend l’affiche à La Licorne le 1er avril après presqu’un mois de représentations à La Bordée, à Québec.
Alors qu’il n’avait que cinq ans, Zachary Chabot se souvient avoir annoncé à sa mère qu’une fois adulte, il gagnerait un Oscar. Bien qu’il croyait accomplir cet objectif par ses talents de comédien, le jeune homme de Gatineau a changé de cap lorsqu’il s’est découvert une passion pour la création cinématographique alors qu’il étudiait en communications à l’Université Brock. Un amour qu’il concrétise depuis en réalisant des courts métrages de manière indépendante, dont le dernier en date, « Bytowne », sera projeté au 26e Festival du film de l’Outaouais. Qui fait Quoi a discuté avec lui à propos de son parcours et de son plus récent projet.
Jean-Jacques Martinod et Matthew Wolkow se sont rencontrés à l’Université Concordia alors que le premier venait de réaliser un court métrage sur les papillons avec un ami entomologiste qui lui avait parlé d’un phénomène assez rare : des cigales qui couvent tous les 17 ans. Le réalisateur a commencé à travailler sur ce projet et a lancé un SOS par courriel pour essayer de trouver ce qui pouvait se faire à l’étranger. Jean-Jacques Martinod, qui avait quitté le Québec depuis quelques temps, a répondu présent. Ainsi est né « Chants de l’Est », qui sortira au Cinéma Moderne, à Montréal, le 3 avril. Qui fait Quoi a discuté avec les deux réalisateurs de ce projet très particulier.