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    Les exclusivités

    Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.

    Nicolas Boivin-Gravel veut mettre de l’avant le talent des 22 finissants de l’École nationale du cirque

    Nicolas Boivin-Gravel veut mettre de l’avant le talent des 22 finissants de l’École nationale du cirque

    Dès son plus jeune âge, Nicolas Boivin-Gravel a plongé dans l’univers du cirque. À six ans, il fait ses premières armes à l’École du cirque de Verdun et continue au secondaire, suivant ses cours les soirs et les fins de semaines. Il commence rapidement à donner des spectacles pendant l’été dans divers festivals et fêtes de quartier. Après le secondaire, il intègre directement l’École nationale du cirque, principalement comme jongleur. Au cours de son parcours, il a pu voir l’évolution du cirque au Québec et en a discuté avec Qui fait Quoi, à quelques jours de la présentation du spectacle des finissants de l’École nationale de cirque, le 29 mai, avec le spectacle annuel « L’antre d’eux ».

    « Deux femmes en or » : du grand écran à la scène pour un retour au grand écran

    « Deux femmes en or » : du grand écran à la scène pour un retour au grand écran

    À la base, la scénariste et productrice Catherine Léger avait eu l’idée d’adapter le film « Deux femmes en or » au théâtre. La pièce est montée à Carleton-sur-Mer en 2018, puis reprise à La Licorne en 2023. Dès la première de la pièce, elle a eu envie d’aller plus loin et d’amener ce scénario de Claude Fournier à l’écran dans une version actualisée. Le film original présentait vraiment des personnages féminins forts, mais aussi drôles, confie-t-elle à Qui fait Quoi. Catherine Léger aimait le fait qu’il s’agissait d’une comédie sur la sexualité féminine et voulait explorer le sujet.

    Fabienne Larouche cherche toujours de bonnes histoires et en a trouvé une avec « Antigang »

    Fabienne Larouche cherche toujours de bonnes histoires et en a trouvé une avec « Antigang »

    Lorsque Luc Dionne est arrivé avec le projet de quotidienne « Antigang », Fabienne Larouche a tout de suite été intéressée par la proposition. Tout l’intéressait, confie la productrice à Qui fait Quoi, et d’abord le sujet du grand banditisme dont on entend parler tous les jours dans les médias : les gangs de rue, la mafia, les Irlandais… C’est le chaos. Et « Antigang » dépasse « District 31 », qui se passait essentiellement dans un poste de police de quartier. Avec la nouvelle quotidienne, on se trouve à un autre niveau. Les simples homicides et la drogue n’intéressent pas l’escouade mixte qui doit s’attaquer aux gros requins.

    Mathieu Lacombe légifère pour assurer la découvrabilité du contenu francophone numérique

    Mathieu Lacombe légifère pour assurer la découvrabilité du contenu francophone numérique

    À l’aube de la 5e Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie, le représentant en la matière au gouvernement provincial, Mathieu Lacombe, a tenu un point de presse annonçant le dépôt à l’Assemblée nationale de son projet de loi 109, intitulé « Loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique ». Avec cette nouvelle législation – la première en son genre au Québec –, le député de Papineau espère donner les moyens requis à la province pour que sa culture décroche ses lettres de noblesse dans l’espace numérique. Qui fait Quoi a assisté à cette allocution pour en rendre compte.

    Le jour où Denys Arcand a arrêté le documentaire

    Le jour où Denys Arcand a arrêté le documentaire

    En 1961, Denys Arcand réalise sa première fiction, « Seul ou avec d’autres », assisté de Denis Héroux et Stéphane Venne. Or, le mandat du réalisateur de « Testament » pour ce film fut de diriger les acteurs. Lors d’une discussion animée par le journaliste Stéphane Leclerc - qui connaît son Arcand sur le bout des doigts -, lors de la quatrième édition du Festival de films d’auteur de Val-Morin (FFVAM), il a été beaucoup question, justement, de la direction d’acteurs du cinéaste.

    Alex Boya voit l’animation comme un langage universel

    Alex Boya voit l’animation comme un langage universel

    Alex Boya a commencé sa carrière par l’illustration médicale il y a plus de dix ans, non seulement pour l’Université McGill, mais aussi pour d’autres établissements. En 2014, il participe à Hothouse de l’Office national du film (ONF), un programme de mentorat en animation, par lequel il réalise son premier film, « Focus », un court métrage d’une minute. Son plus récent film, « Bread Will Walk » (« Le pain se lève ») est présenté à la Quinzaine des réalisateurs, à Cannes en mai 2025. Qui fait Quoi a discuté avec lui alors qu’il se trouvait déjà au Palais des Festivals.