Les exclusivités
Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition de mai 2025 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement modernisée, améliorée et optimisée. Disponible en ligne en format numérique PDF (89 pages), cette 451e édition de la revue Qui fait Quoi contient des reportages sur les conférences Prime Time de la Canadian Media Producers Association (CMPA) et de la deuxième édition du Rendez-vous On tourne vert organisé par le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), la série télé « Libre dès maintenant » (Groupe Fair Play, Radio-Canada, Guillaume Wagner, Patrice Laliberté), les films « Libre dès maintenant » (Fernand Dansereau, Les Films Outsiders), « Paul » (Denis Côté, Coop Vidéo de Montréal), « Peut-être des éléphants » (Torill Kove, ONF), les cinéastes et scénaristes émergents Karan Archana, Ismael Mossadeq, Cristi Parpalita et David Couture, ainsi que le metteur en scène Jean-Simon Traversy (Duceppe) à propos de la pièce « Janette », en couverture. Tout ça et bien plus encore…
L’Office national du film du Canada (ONF) poursuit aujourd’hui son rôle de catalyseur de l’art cinématographique en diffusant « Corpus et l’exploration divine » (version française de « Corpus and the Wandering), un court métrage expérimental de la cinéaste et chorégraphe albertaine Jo Roy. Cette oeuvre a pour particularité d’être composée entièrement de plans du corps de l’auteur, filmés via un iPhone et superposés pour former des paysages et des êtres vivants. Un procédé qui a enthousiasmé l’organisme national, soutient sa présidente Suzanne Guèvremont, au point qu’il a accepté de le produire et de le distribuer. Qui fait Quoi a discuté avec cette dernière en marge de la projection du film sur la façade de l’édifice Wilder le 22 avril dernier.
Son baccalauréat en communication sociale de l’Université de Trois-Rivières en poche, Olivier Lambert, un natif de Shawinigan, a commencé à travailler comme responsable du marketing numérique chez Voyages à Rabais où il gérait un budget de 1,5 million $ en publicité. Blogueur et formateur, il lance en 2017 La Tranchée, une place de marché de formateurs. C’est à ce moment qu’il a commencé à avoir besoin d’un studio d’enregistrement pour créer des cours en ligne. C’est ainsi que sont nés Les Bunkers, des studios d’enregistrement qu’il met à la disposition de créateurs de balado et de formateurs.
Au côté de son collègue scénariste et idéateur Maxime Beauchamp, Patrick Bilodeau réfléchissait déjà à la continuité de la série « FEM » avant même que le tournage de sa première saison ne soit terminé. Une ambition concrétisée par le succès de l’émission sur la chaîne Unis TV, qui a confirmé son potentiel au diffuseur quelques semaines seulement après sa mise en ondes. Le producteur associé d’UGO Média et ses partenaires ont depuis reçu le feu vert pour préparer la seconde mouture de la série, qu’ils tournent activement jusqu’au début du mois de mai. Qui fait Quoi s’est entretenu avec Patrick Bilodeau lors d’une visite de plateau.
Dans la droite lignée de leurs précédents longs métrages de fiction, Yoann-Karl et Anouk Whissell revisitent le genre de l’horreur à leur manière avec « Wake Up », un thriller d’action horrifique aux accents sociaux pleinement assumés. Le duo frère-soeur à l’origine du collectif Roadkill Superstars (RKSS) y met en scène une bande de jeunes activistes environnementaux qui se retrouvent chassés par un gardien de nuit dérangé après être entrés par effraction dans une grande surface. Qui fait Quoi a discuté avec eux de leur quatrième film à l’occasion de sa sortie en salles début avril, quelques mois après sa première canadienne à la 28e édition du Festival international de films Fantasia.
Désireux de raconter des histoires par le biais du documentaire, Joseph Bitamba a fait ses premières armes à la télévision nationale du Burundi au milieu des années 1980, où il a travaillé en tant que réalisateur jusqu’à sa migration au Canada en 2003. Après s’être engagé auprès de la défunte maison de production Médiatique Inc. et auprès de TFO, le documentariste s’est lancé à son propre compte, une décision qui l’a mené à réaliser une dizaine de métrages depuis 2011. Son dernier en date, « Femmes, tambours et résilience », a été projeté à Montréal dans le cadre du festival Vues d’Afrique le 9 avril dernier, l’occasion pour Qui fait Quoi d’en discuter avec lui.