Les exclusivités
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Depuis la fondation de sa société Couzin Films il y a de cela plus de vingt-cinq ans, Ziad Touma n’a cessé d’évoluer entre les productions linéaires, propres aux milieux traditionnels du cinéma et de la télévision, et les productions interactives, portées par des technologies numériques en constante expansion. Une voie multidisciplinaire qu’il emprunte aujourd’hui en tant que producteur de « Traces : Le processeur de peine », l’expérience en réalité virtuelle signée par Vali Fugulin et traitant symboliquement de la thématique du deuil. Qui fait Quoi l’a rencontré pour en savoir davantage sur ce projet et sur les méthodes qu’il y a empruntées.
À la suite de la sortie de son premier long métrage, « Fabuleuses », Mélanie Charbonneau a enchaîné les contrats de réalisation, se retrouvant notamment derrière la caméra de la série Web « Je ne suis pas un robot » et du film biographique « Seule au front ». Des mandats que la cinéaste a accomplis en parallèle du développement d’un autre projet, « Les furies », entamé en 2020 et qui verra finalement le jour fin novembre. Une comédie sportive et féminine qui s’inscrit directement dans la continuité des oeuvres précédentes de Mélanie Charbonneau, bien qu’elle n’en soit pas l’autrice, a-t-elle confié à Qui fait Quoi.
Pendant les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), l’Office national du film va accueillir des participants au DocLab qui, pendant trois jours, rencontront des mentors afin de développer leur projet. Il s’agit d’une collaboration fort appréciée par l’ONF, note Mélanie Brière, productrice au Studio documentaire du Québec et de la francophonie canadienne et acadienne, lors d’un entretien avec Qui fait Quoi.
La comédienne Pascale Montpetit avait déjà pris la plume pour écrire un portrait de Serge Bouchard qui venait de mourir, dans la revue « L’Inconvénient », à l’invitation de Mathieu Bélisle. C’est encore à la demande de quelqu’un, dans ce cas, Danielle Lorain, qu’elle s’est lancée dans un exercice périlleux. Cette dernière, qui dirige la Collection III chez Québec Amérique, lui avait proposé de partir de trois souvenirs marquants pour écrire un livre d’environ 150 pages. Le résultat, « Le bézoard », est une autofiction dans laquelle Pascale Montpetit dévoile qu’elle a subi de l’inceste de la part de son père lorsqu’elle était toute petite.
Le mandat du Bureau de l’écran autochtone consiste à défendre et à soutenir la souveraineté narrative autochtone sur les écrans, à la télévision, au cinéma, mais aussi dans les autres formes de narration, comme les balados, et ce, à toutes les étapes, du développement à la production en passant par le marketing et la distribution. Pour y arriver, des programmes de financement ont été mis en place, explique Jean-François O’Bomsawin, directeur des communications et des initiatives francophones du Bureau de l’écran autochtone.
Surtout connue pour son travail d’interprétation dans des productions telles que « Le plongeur », « Premier trio » ou « Hubert et Fanny », Gabrielle Côté cultive pourtant depuis plusieurs années son talent pour l’écriture, ayant signé de nombreuses fictions et chroniques audio pour les plateformes de Radio-Canada. Aujourd’hui, l’auteure et comédienne présente « Les furies », le premier long métrage qu’elle a scénarisé, dont les racines remontent à sa formation en scénarisation à l’École nationale de l’humour (ENH). Qui fait Quoi l’a rencontrée afin de discuter de cette nouvelle étape dans sa carrière.