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    Les exclusivités

    Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.

    Pascale Montpetit se dénude par les mots

    Pascale Montpetit se dénude par les mots

    La comédienne Pascale Montpetit avait déjà pris la plume pour écrire un portrait de Serge Bouchard qui venait de mourir, dans la revue « L’Inconvénient », à l’invitation de Mathieu Bélisle. C’est encore à la demande de quelqu’un, dans ce cas, Danielle Lorain, qu’elle s’est lancée dans un exercice périlleux. Cette dernière, qui dirige la Collection III chez Québec Amérique, lui avait proposé de partir de trois souvenirs marquants pour écrire un livre d’environ 150 pages. Le résultat, « Le bézoard », est une autofiction dans laquelle Pascale Montpetit dévoile qu’elle a subi de l’inceste de la part de son père lorsqu’elle était toute petite.

    Le Bureau de l’écran autochtone collabore avec la SODEC pour faire entendre les voix autochtones

    Le Bureau de l’écran autochtone collabore avec la SODEC pour faire entendre les voix autochtones

    Le mandat du Bureau de l’écran autochtone consiste à défendre et à soutenir la souveraineté narrative autochtone sur les écrans, à la télévision, au cinéma, mais aussi dans les autres formes de narration, comme les balados, et ce, à toutes les étapes, du développement à la production en passant par le marketing et la distribution. Pour y arriver, des programmes de financement ont été mis en place, explique Jean-François O’Bomsawin, directeur des communications et des initiatives francophones du Bureau de l’écran autochtone.

    Gabrielle Côté entame son parcours de scénariste audiovisuelle avec « Les furies »

    Gabrielle Côté entame son parcours de scénariste audiovisuelle avec « Les furies »

    Surtout connue pour son travail d’interprétation dans des productions telles que « Le plongeur », « Premier trio » ou « Hubert et Fanny », Gabrielle Côté cultive pourtant depuis plusieurs années son talent pour l’écriture, ayant signé de nombreuses fictions et chroniques audio pour les plateformes de Radio-Canada. Aujourd’hui, l’auteure et comédienne présente « Les furies », le premier long métrage qu’elle a scénarisé, dont les racines remontent à sa formation en scénarisation à l’École nationale de l’humour (ENH). Qui fait Quoi l’a rencontrée afin de discuter de cette nouvelle étape dans sa carrière.

    image+nation veut donner la parole aux nouveaux récits queer

    image+nation veut donner la parole aux nouveaux récits queer

    Il y a 38 ans naissait le festival image+nation, événement qui s’est donné le mandat d’encourager et de nourrir la culture LGBTQ+. D’autres festivals du genre ont existé, mais celui-ci a passé l’épreuve du temps, explique Charlie Boudreau, qui assure la direction générale artistique, à Qui fait Quoi. D’abord bénévole de l’événement en 1991, Charlie Boudreau a vu image+nation grandir, devenir un organisme à but non lucratif viable et le dirige depuis 1996. La 38e édition du festival se tiendra du 20 au 30 novembre dans différents lieux à Montréal.

    L’Unité documentaire de l’Est est ouverte à toutes les formes de documentaires

    L’Unité documentaire de l’Est est ouverte à toutes les formes de documentaires

    Il y a un peu plus d’un an - le 21 octobre 2024 pour être plus précis -, Rob Vroom arrivait à l’Office national du film à titre de producteur de l’Unité documentaire de l’Est. Depuis, il a commencé à développer plusieurs projets. Pour de nombreux documentaristes, voir un de ses films produits par l’ONF tient du Saint Graal. Or, pour soumettre un projet, il suffit d’aller le déposer sur le portail de l’institution et d’attendre, explique-t-il à Qui fait Quoi.

    Dans « Je m’appelle Nina Shakira », Samuel Suffren veut parler de sa mère, des écrivaines haïtiennes et de son pays

    Dans « Je m’appelle Nina Shakira », Samuel Suffren veut parler de sa mère, des écrivaines haïtiennes et de son pays

    Réalisateur, artiste visuel et producteur haïtien, Samuel Suffren est connu pour la trilogie inspirée de la vie de son père. Le premier, « Agwe », a été sélectionné au Festival de Locarno et a remporté le prix du meilleur film de la diaspora au FESPACO. Le deuxième, « Des rêves en bateaux papiers », a été présenté à Sundance et le troisième, « Coeur Bleu », vient de sortir récemment. Lors du Nouveau Marché, proposé dans le cadre du Festival du nouveau cinéma (FNC), la productrice Carine Ruszniewski, de la maison de production française GoGoGo Films, est venue présenter le projet du prochain film du réalisateur, « Je m’appelle Nina Shakira », Samuel Suffren n’ayant pu se déplacer à Montréal.