Les exclusivités
Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.
Après des études en théâtre au cégep où elle a découvert le plaisir d’interpréter des personnages, Virginia Tangvald a continué à l’université en interprétation guitare classique, ce qui ne s’est pas avéré un très bon choix pour elle. Elle monte ensuite le groupe rock The Last Assassin, avec Jean Leloup. C’est en réalisant des vidéoclips et en tournant de la musique pour la promotion qu’elle a pris conscience à quel point elle aimait ce médium qui alliait sa sensibilité et ses compétences musicales. Elle s’inscrit donc à L’inis pour poursuivre cette passion. Lors du 53e Festival du nouveau cinéma, la réalisatrice présentera « Les enfants du large », un long métrage documentaire en forme de quête.
Trois semaines après sa publication sur le site Web de l’Assemblée nationale, la pétition du mouvement « Le Québec n’a plus d’effet(s) » – ayant pour but de suspendre les modifications apportées au crédit d’impôt pour les services de production cinématographique – a réussi à accumuler plus de 10 000 signatures en date du 11 octobre. Un véritable cap symbolique selon l’instigateur du mouvement, Matthieu Chatelier, qui espère que le milieu et ses partisans garderont leur cadence jusqu’au 5 novembre, date limite pour signer ce document en ligne. Qui fait Quoi a discuté avec lui de ses espoirs par rapport à cette démarche et du soutien dont son initiative a pu bénéficier.
Sans la grande complicité entre la réalisatrice et scénariste Clara Milo et la directrice photo Juliette Lossky, le court métrage « Himalia », qui sera projeté au Festival du nouveau cinéma, n’aurait sans doute jamais vu le jour. Après avoir réalisé « Aska » en solo (Prix Coup-de-coeur de Denis Villeneuve au gala Prends ça court !), Clara Milo a voulu élaborer un projet avec son amie, finissante de Concordia, qui a appris son métier de directrice de la photo en suivant André Turpin, avant de travailler sur d’autres films.
La directrice artistique du Théâtre Catapulte, Isabelle Bartkowiak, présente jusqu’au 19 octobre sa pièce intitulée « Iphigénie à Pointe-aux » dans la salle intime du Théâtre Prospero, un an après avoir été forcée de l’annuler, faute de financement adéquat. La metteure en scène a donc finalement l’occasion de partager son adaptation québécoise du texte original de Gary Owen, un projet qu’elle nourrit depuis quatre ans déjà. Qui fait Quoi a discuté avec la créatrice de sa démarche et de ses particularités.
De nombreux cinéphiles, invités d’honneurs et dignitaires ont rempli la salle du Monument national ce mercredi le 9 octobre, pour assister à l’ouverture du 53e Festival du nouveau cinéma (FNC) et à la projection du film « Une langue universelle » de Matthew Rankin, représentant du Canada dans la course à l’Oscar du meilleur film international. Des « bogues techniques » ont cependant coupé court à l’événement une dizaine de minutes après le début du visionnement. Qui fait Quoi était sur place pour partager l’engouement suscité par cette soirée.
L’entreprise montréalaise difuze – notamment spécialisée dans les opérations liées à la postproduction sonore – a converti son plus grand studio de mixage afin d’obtenir la certification Dolby Atmos pour le cinéma. Un changement de paradigme qui permet au mixeur sonore principal de l’établissement, Stéphane Bergeron, de disposer d’une « liberté créative sans précédent ». Qui fait Quoi est allé à sa rencontre dans son studio sur la rue Sainte-Catherine Ouest à Montréal pour rendre compte de sa perspective.