Les abonnés d’illico+ pourront suivre en 2026 de nouvelles intrigues de la très populaire série « Mr Big », dans laquelle des agents doubles hors de l’ordinaire imaginent des mises en scène ambitieuses pour pousser des suspects aux aveux. [suite]
Lorsque l’on regarde le nouveau documentaire de Sophie Bédard Marcotte, « J’ai oublié le paysage », on pense à la grande liberté qu’avaient les documentaristes de l’Office national du film dans les années 1960, 1970. Le producteur Pierre-Mathieu Fortin reconnaît que lorsque l’on entre dans cette grande institution, on ressent à la fois l’exaltation face à ce grand terrain de jeu et, en même temps, une grande responsabilité. « Le poids du passé nous suit quand on travaille pour une institution comme celle-là », confie-t-il à Qui fait Quoi. [suite]
Voir Marie-Jo Thério sur scène est une expérience musicale et sensorielle peu commune. Elle entreprend bientôt le dernier droit de sa tournée avec des spectacles au Théâtre du Petit Champlain le 6 décembre à Québec où l’on affiche complet, et à Montréal le 13 décembre au Théâtre Outremont. Le spectacle, qui a été chaleureusement accueilli dans une trentaine de villes, est présenté par Productions Martin Leclerc/Groupe Juste pour divertir. [suite]
C’est avec « joie et simplicité » que l’autrice-compositrice-interprète Belle Grand Fille propose le EP « Noël nouvelet », une œuvre « lumineuse et dépouillée qui marie brillamment le folk à la musique ancienne ». [suite]
Confronté à l’absence presque totale de neige lors de l’hiver 2023-2024, Maxime Sauvage s’est lancé dans une série d’actions et de manœuvres infiltrantes qui interrogent notre rapport à la saison froide. Il expose le fruit de son travail à la Galerie Regart de Lévis. Pour explorer notre rapport à l’hiver, jusqu’au 13 décembre 2025. [suite]
Le Groupe Juste pour rire vient d’annoncer la nomination d’Alexandre Avon au poste de Vice-président, Alliances stratégiques et partenariats de marques. [suite]
Lorsque l’on regarde le nouveau documentaire de Sophie Bédard Marcotte, « J’ai oublié le paysage », on pense à la grande liberté qu’avaient les documentaristes de l’Office national du film dans les années 1960, 1970. Le producteur Pierre-Mathieu Fortin reconnaît que lorsque l’on entre dans cette grande institution, on ressent à la fois l’exaltation face à ce grand terrain de jeu et, en même temps, une grande responsabilité. « Le poids du passé nous suit quand on travaille pour une institution comme celle-là », confie-t-il à Qui fait Quoi. [suite]
