Les exclusivités
Chaque jour, depuis 40 ans, les journalistes de Qui fait Quoi rencontrent et donnent la parole aux professionnel·le·s de l'image et du son (cinéma, télévision, scène, musique, communication, culture…). Entrevues exclusives, reportages inédits, visites de plateaux, entrevues dans les coulisses, podcasts, interview vidéo, compte-rendu d'événements et de festivals, analyses, réflexions… Les abonné·e·s de Qui fait Quoi profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.
Lors de l’édition 2025 de Prime Time, la rencontre annuelle de la Canadian Media Producers Association (CMPA), la OYA Black Arts Coalition (OBAC) a présenté les grandes lignes du rapport « Creating Safe Space for Black Emerging Talent Report » (« Créer un espace sûr pour les talents noirs émergents »). Lors de cette discussion animée par Silvana Rose Miller, chargée de développement chez OYA Media Group, Emmanuel Tabi, professeur adjoint, Études noires/africaines en éducation au Département d’études intégrées en éducation (DISE) de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université McGill, Olly Azeez, producteur et coordinateur de programme et directeur, chez OBAC, Orla Gariques, directrice du marketing chez Inner City Films, et Kamika Bianca Guerra-Walker, fondatrice de la Walker Foundation et réalisatrice, ont discuté des écueils rencontrés par les talents noirs émergents.
Né au Rwanda mais élevé à Québec, Justice Rutikara s’est rapidement découvert un penchant pour de multiples pratiques artistiques avant de fixer ses passions sur la cinématographie et le documentaire à l’âge adulte. Dans la foulée de son premier moyen métrage, « La Cité des autres », le cinéaste est revenu sur un épisode marquant de l’histoire de sa famille, survivante du génocide rwandais survenu en 1994, réalisant ainsi « Ibuka, Justice » (anciennement intitulé « Au 7e jour »), un court métrage d’animation primé dans plusieurs festivals. Qui fait Quoi s’est entretenu avec lui pour en apprendre davantage sur ce projet, en marge de sa projection aux Rendez-vous Québec Cinéma (RVQC).
En plus de piloter la maison de production CarpeDiem Film & TV, Marie-Claude Beauchamp travaille également à la représentation de films d’animation canadiens et internationaux à l’échelle mondiale à la tête de la société Pink Parrot Média. C’est en portant cette casquette qu’elle a eu vent d’« Elli et l’équipe des monstres », un projet d’adaptation du livre pour enfant éponyme de l’auteur allemand Klaus Baumgart, dont la prémisse a résonné avec ses valeurs au point qu’elle a proposé en devenir coproductrice. Marie-Claude Beauchamp a partagé son expérience avec Qui fait Quoi en prévision de la sortie en salles du film le 28 février dernier.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition de mars 2025 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (87 pages), cette 449e édition de la revue Qui fait Quoi contient des reportages sur la conférence Prime Time de la Canadian Media Producers Association (CMPA), les séries télé « Mea Culpa » (Chantal Cadieux, Miryam Bouchard, Sphère Média, Radio-Canada) (en couverture), « Matimekush » (Guillaume Sylvestre, Télé-Québec), « Okurimono » de Laurence Lévesque, « The Soldier’s Lagoon » de Pablo Alvarez-Mesa sur l’Usine C avec Danièle de Fontenay et Angela Konrad. Tout ça et bien plus encore…
Originaire de Sept-Îles, Sophie Valcourt a – comme tant de jeunes Nord-Côtiers – pris la décision de déménager à Montréal pour entreprendre des études universitaires. Après avoir réalisé un court métrage – intitulé « Seize » – dans le cadre de son parcours scolaire, la bachelière en Film Production de l’université Concordia a aujourd’hui mené à terme un premier projet indépendant, « Jamais nulle part », un documentaire où elle partage avec deux proches son désir de renouer avec sa région natale. Qui fait Quoi en a discuté avec elle peu de temps avant sa projection aux Rendez-vous Québec Cinéma.
La Coalition M.É.D.I.A, le Bureau de l’écran des Noirs et de Black on Black Films se sont associés pour mobiliser une étude intitulée « Être Vu.e », visant à créer des directives québécoises pour un contenu plus authentique dans l’industrie québécoise en termes de récits racisés et marginalisés. Lors du Rendez-vous Pro des Rendez-vous Québec Cinéma, le public a pu découvrir un aperçu de cette étude, dans une discussion avec l’acteur, scénariste, réalisateur et producteur Chadi Alhelou, la réalisatrice, scénariste et productrice Josiane Blanc, Richard Jean-Batptise, vice-président et producteur exécutif, innovation et développement d’affaires chez Attraction, ainsi que la chercheure et étudiante à la maîtrise Aurélie Milord, dans une discussion animée par Nancy Dubuisson, directrice de la programmation chez Natyf TV.
