Une étude de l’UPPCQ vient démystifier le métier de producteur·trice
L’Union des Producteurs et Productrices du Cinéma Québécois (UPPCQ) a voulu tâter le pouls auprès de ses membres sur leurs conditions de travail et de vie. Et le portrait est loin d’être glorieux. À la lecture de ces résultats, on est loin de l’image du producteur qui conduit une voiture de luxe et qui habite dans une maison huppée dans une banlieue chic. Christine Falco (Films Camera Oscura), Élodie Pollet (Extérieur Jour), Galilé Marion-Gauvin (Unité centrale) et Irène Bessone (Art et essai), tous membres du C.A. de l’UPPCQ, ont présenté les résultats devant près de 100 personnes à la Cinémathèque québécoise.