Kevin T. Landry .
Photo: Sophie Bernard
Dans « Jour de merde », Kevin T. Landry aiguise son humour noir
Enfant, Kevin T. Landry allait souvent au cinéma avec son père, dans sa ville natale de Granby, mais son coup de foudre pour le septième art lui est arrivé lors d’un cours d’arts plastiques dans lequel avait été présenté le film « Lost in Oblivion », de Tom DiCillo. L’enseignant avait montré comment ça se passait sur un plateau de tournage et le jeune garçon a été séduit. Il a annulé son inscription en sciences pures au cégep pour s’inscrire en arts et lettres.