La comédie multilpie les perspectives bienveillantes sur des sujets plus sombres pour Christine Doyon
Dès qu’Ariane Louis-Seize a vu germé chez elle l’idée derrière « Vampire humaniste cherche suicidaire consentant », elle l’a partagée avec Christine Doyon. À priori, la prémisse que révèle le titre de ce premier long métrage pour les deux complices devait se concrétiser en court métrage. La scénariste et réalisatrice a ensuite proposé de déployer en format long l’univers de Sasha, une jeune vampire qui se découvre une compassion pour le genre humain, et de Paul, un dépressif chronique, prêt à mettre un terme à son existence. Le duo de scénaristes a ainsi établi ses propres codes à l’intérieur du genre du film de vampire pour donner vie à ce scénario, explique à Qui fait Quoi Christine Doyon.