
Matthew Rankin inscrit son deuxième long métrage, « Une langue universelle », sous le signe de la connexion
Originaire de Winnipeg, le cinéaste Matthew Rankin a toujours gardé une profonde affection pour sa ville natale, bien qu’il se soit installé à Montréal depuis de nombreuses années. Au fil de son parcours, celui qui a réalisé « Le vingtième siècle » a également découvert le cinéma iranien, qu’il a apprécié pour sa profondeur et son langage cinématographique particulier. Il s’est donc donné pour but de lier ces deux univers que tout semble éloigner, une démarche qui a mené à la création de son second long métrage, « Une langue universelle ». Qui fait Quoi s’est entretenu avec le réalisateur quelques jours avant la sortie en salle de son film, primé à travers le monde lors de sa tournée des festivals.