Anamê Gnanguenon concrétise sa réorientation vers le cinéma grâce au programme « Voix [in]visibles »
Tour à tour journaliste et productrice de balados, Anamê Gnanguenon s’est récemment tournée vers le médium du cinéma pour partager sa volonté de défendre les droits humains et les intérêts des communautés afro-descendantes. Afin d’acquérir de l’expérience et de l’assurance dans ce nouveau domaine de l’audiovisuel, la militante franco-béninoise s’est inscrite au programme « Voix [in]visibles » de la Fondation PHI, une résidence visant à développer le talent d’artistes émergents issus des diasporas africaines de Montréal. Une expérience enrichissante qui lui a permis d’apprendre de nouvelles méthodes pour concrétiser son premier court métrage, a-t-elle confié à Qui fait Quoi.