
« Les gars des vues » : fantasmes et contre-emplois
Éric Salvail en Vin Diesel, la boule à zéro et tous biceps dehors, qui enfonce sa langue dans le pharynx d’une pitoune stéréotypée. Guy A. Lepage en prisonnier de camp de concentration, fou de désir pour son geôlier, dans un récit tire-larmes conçu de toutes pièces pour faire fondre l’Academy. Et Marcel Sabourin qui vide d’un trait le chargeur de son fusil M16, sans trembler le moins du monde, sur des zombies venus s’en prendre à sa maison de retraite.