Extrait du film « Mon Yiddish Papi ».
Photo: Éléonore Goldberg
Éléonore Goldberg, cinéaste d’encre et de papier
C’est en assistant à une exposition de William Kentridge, le grand animateur d’Afrique de Sud, qu’Éléonore Goldberg a eu le déclic. « En voyant cette exposition, j’ai réalisé qu’on pouvait faire un type d’animation différent de ce que j’avais l’habitude de voir dans les dessins animés », raconte-t-elle en entrevue. Son style, qui touche une technique plus traditionnelle en deux dimensions, est aujourd’hui bien défini. Entretien avec la dessinatrice, animatrice et artiste visuelle d’origine française, installée à Montréal depuis ses 19 ans.