Évaluant qu’environ 92,7% des chansons parlent d’histoires d’amour, Junes propose de changer de sujet. L’artiste montréalaise qui s’identifie comme une « ex-gênée » utilise la musique pour célébrer la force tranquille. Ses textes, simples, mais efficaces, visent à répandre le message : il faut oser prendre sa place.
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Junes a toujours chanté. Enfant sensible et gênée, elle a étonnement toujours été à l’aise sur une scène. Plus tard, elle a appris à s’accompagner au piano et à la guitare, a pris quelques cours de trompette et s’est mise à la danse. Adolescente, elle a commencé à écrire des chansons folk. Ça allait bien avec son tempérament doux, calme et rangé, on lui disait. Mais ça l’ennuyait, et le folk, ça se danse pas.
Junes choisit donc la pop. Avec des vibes électrisantes, le son du projet est frais, jeune et assumé. On y retrouve des inspirations québécoises (Les Louanges, Ariane Roy, Charlotte Cardin) mêlées au son pop de nos voisins américains (Bille Eilish, Dua Lipa).
Ses premières sorties révèlent un univers unique où douceur et explosion se rencontrent. Des singles accrocheurs qui annoncent l’arrivée d’un premier album en carrière.
« Jamais trop »
Véritable cocktail énergétique, cet opus est un condensé de pop francophone qui pulse et qui fait du bien. Le son de Junes est frais, jeune et assumé. On y retrouve des inspirations québécoises (Les Louanges, Ariane Roy, Charlotte Cardin) mêlées au son pop de nos voisins anglophones (Billie Eilish, Dua Lipa). Avec des chansons comme « En rond », la jeune Montréalaise célèbre la force tranquille et invite à prendre sa place, sans jamais regarder en arrière. C’est une nouveauté qui frappe comme une tonne de briques. Rendez-vous le 7 juin prochain.
Source : Kartel Musik