Onur Karaman.
Photo: Sophie Bernard
Avec son 4e long métrage, « Respire », Onur Karaman se sent réellement cinéaste
Quand il était jeune, Onur Karaman, cinéaste québécois d’origine turque, avait deux ambitions : jouer au foot et faire des documentaires animaliers dans le Serengeti. À l’âge de 20, alors qu’il vivait chez ses parents, il a fait un « coup d’État » et s’est acheté un chien. Ce contact avec l’animal l’a bouleversé et il s’est rendu compte qu’il ne pourrait jamais réaliser de films dans lesquels un animal en mange un autre. C’est lorsqu’il retourne aux études au cégep qu’il découvre la fiction, comment on construit une histoire, on bâtit un film. Ce fut un deuxième bouleversement dans sa vie. Son plus récent film, « Respire », prend l’affiche fin janvier.
