Le Gala Québec Cinéma en photos - Partie 2
Encore une fois cette année, le Gala Québec Cinéma récompense de nombreux films soulignant la richesse des propositions qu’offrent les créateurs et les créatrices d’ici. Alors que « La Bolduc » et « 1991 » se distinguent avec 6 et 5 statuettes respectivement, « À tous ceux qui ne me lisent pas » et « Une colonie », des premiers longs métrages, parviennent à faire leur place au palmarès, confirmant l’importance de la relève dans le paysage cinématographique québécois.
Compte rendu en photos des gagnants et des présentateurs :
Antoine-Olivier Pilon et Rachel Mwanza ont présenté les prix Iris des meilleures interprétations féminine et masculine.
Marianne Farley et Jeremy Comte, qui ont rendu le Québec fier en se rendant dans la course à l’Oscar du meilleur court métrage en février dernier, se sont présentés devant les photographes.
« Innu Nikamu : Chanter la résistance » a récolté l’Iris du meilleur film documentaire au grand étonnement du réalisateur Kevin Bacon Hervieux (à droite).
Après un parcours où il a rayonné dans de nombreux festivals à travers le monde, « Brotherhood » de Meryam Joobeur remporte l’Iris du meilleur court métrage.
Récipiendaire de l’Iris du meilleur premier film pour « À tous ceux qui ne me lisent pas », un prix remis pour la première fois lors de cette édition, le réalisateur Yan Giroux et le scénariste Guillaume Corbeil posent aux côtés de la ministre de la Culture et des Communications Nathalie Roy.
Martin Dubreuil met la main sur l’Iris de la meilleure interprétation masculine pour sa personnification du regretté poète Yves Boisvert dans « À tous ceux qui ne me lisent pas ».
En plus du prix du public, « 1991 » a vu son réalisateur Ricardo Trogi raflé l’Iris de la meilleure réalisation.
Photos : Frédéric Bouchard